Vous serez d’accord, une blessure n’est jamais la bienvenue. Encore moins lorsqu’on pratique un sport. En ce qui me concerne, depuis l’été dernier, un mal me tiraille dans le genou gauche. À première vue, cette blessure me semblait des plus banales. En fait, une blessure n’est jamais à prendre avec légèreté.
Une blessure sportive peut avoir plusieurs causes. Parfois, elle dépend de notre constitution, de notre architecture osseuse. On peut, par exemple, avoir une jambe plus courte que l’autre, ou encore, avoir des pieds plats. Dans mon cas, mon genou souffre à chaque course à cause d’une méthode peu recommandée que j’ai utilisée.
Mon bobo
Et oui, j’ai eu un manque de jugeote. Ça faisait presque deux semaines que je n’avais pas couru et moi, brillante et surtout pleine d’expérience en sport, j’ai décidé d’aller courir pendant une heure et quart pour me punir. Vers la fin de cette course, une petite douleur se faisait sentir dans mon genou, mais je persistais à finir mon trajet au pas de course.
Malheureusement pour moi, ce mal que je croyais temporaire est bel et bien définitif. Je le traîne depuis le début de l’été. Ça m’a ralenti dans mon objectif de courir sans arrêt le Demi-marathon Oasis de Montréal.
On m’a conseillé de consulter un physiothérapeute. C’est ce que j’ai fait la semaine passée! Elle a trouvé mon bobo et sait quoi faire pour l’atténuer. J’ai maintenant un nouvel entraînement pour aider à renforcer mon quadriceps gauche intérieur. Je dois aussi ralentir le jogging afin de ne pas trop user mon pauvre petit genou!
Le meilleur conseil que je peux vous donner pour éviter les blessures dues au surentraînement, c’est de ne jamais dépasser votre capacité. Vous sentez une douleur naissante en pratiquant un sport? Ne faites pas comme moi, écoutez plutôt votre corps. Vous vous éviterez bien des soucis. Sinon, consultez sans hésitation un professionnel du milieu qui saura vous guidez dans votre guérison.
Vickie
Très bon article. Rien de sert de jouer à « Superwomen »… Bon conseil d’écouter un peu plus son corps car le corps « a ses raison que la raison ne connaît pas »,