Être, c’est toute une aventure. J’essaie de le faire du mieux que je peux. J’ai une propension à l’optimisme et à l’utopisme. Je n’en démorderai pas. Si je ne peux pas rêver du monde dans lequel je veux vivre, c’est la mort. Je suis profondément attachée à une citation de Gandhi : « Sois le changement que tu veux voir dans le monde ».
J’ai un intérêt un peu excessif pour le concept de groupe. C’est sûrement la raison de ma passion pour les réseaux sociaux et les mouvements qui s’y rattachent. J’aime ça me lever le matin et boire mon thé en regardant ce qui se passe ailleurs dans le monde. Voir que d’autres p’tits cœurs veulent un monde plus juste, plus doux, plus… humain. L’humain, en voilà un autre sujet qui me turlupine la tête en quasi permanence. J’aime observer, comprendre, ressentir. Ma plus grande découverte à ce jour c’est la compassion. Cet état d’esprit envers chaque petit être vivant, a chamboulé mon existence. C’est une gymnastique du cœur, mais aussi le plus beau cadeau à s’offrir. La vie goûte radicalement plus sweet. Je suis une rêveuse, une fille de projet, une « écriveuse », une intervenante sociale, une militante peaceful, une gourmande. J’ai toujours envie de plus et je veux vivre en sentant que quelque chose de merveilleux est sur le point d’arriver.
Reprendre le projet de Boucle Magazine a été pour moi un des plus grands défis de ma vie. J’ai été naïve de croire que ça ne changerait pas ma vie ; ça la transforme de façon puissante. De magnifique rencontres, des découvertes à n’en plus finir et un lien solide qui se tisse avec des filles qui partagent une vision similaire à moi, à Boucle et sûrement à vous qui nous lisez.
Je n’ai pas la prétention de vous dire que j’accepte mon corps avec facilité, que je ne me compare pas, que je ne souffre pas de ce que les médias me présentent comme images de la femme. Je vis dans le même monde que vous et je suis aussi bombardée d’images et d’informations qui me m’envoient le message que je ne correspond pas aux standards de beauté. Pourtant, je réalise tous les jours que c’est absurde. J’ai rarement rencontré des beautés comme on me montre dans les magazines. Pourtant, je vois des femmes magnifiques tous les jours! Je trouve profondément réducteur de confiner la beauté de la femme dans une image trop souvent unidimensionnelle. Une femme c’est beau par son rire, ses manies, son style, sa façon bien à elle d’être coquette et… tellement plus!
Je cherche donc, moi aussi, à me sentir mieux avec mon corps, mes kilos en trop, mes insécurités et mon corps de femme. Ça et de l’optimisme presque qu’utopique, ça donne une vive envie de dire : À go, on change le monde!
GO!
Je suis Mélanie!
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J’aime l’idée de lenteur, d’apprécier le temps qui passe, de savourer chaque instant.
La lenteur n’est pas qu’une façon d’approcher la vie: c’est aussi une autre conception du Monde. Alors qu’on ne fait qu’entendre parler de croissance économique et de la responsabilité de devenir sans cesse plus performant, l’idée de prendre un recul et d’apprécier ce que l’on a me plaît énormément.
« Le succès, c’est d’obtenir ce que l’on veut; la sagesse c’est d’apprécier ce que l’on a. » Je crois que le bonheur se retrouve entre les deux.
Félicitations pour ce nouveau défi… au plaisir de te lire!
Bruno
Merci Bruno pour ce petit mot ! J’ai BESOIN de cette lenteur à travers tout ce qui va trop vite. C’est ce qui me permet le moment présent. Et le moment présent c’est le bonheur. Oui entre les deux (le succès et la sagesse, y’a un gros morceau de bonheur !