Il y a l’Homme et l’autre.
Celui qui entre en scène, qui se revêtit du meilleur et du pire de l’autre.
L’autre qui subit, écoute, s’enchante de se voir ainsi reflété, comme dans un miroir, sans nécessairement se reconnaître. Peut-être ne veut-il pas se reconnaître? Peut-être y reconnaît-il autre chose ? Du moment qu’il écoute ce que l’Homme tente de lui dire, dissimulé sous un autre, il assiste. Donc, il conçoit qu’il choisi d’être l’instrument de quelqu’un d’autre, pour lui-même.
L’Homme sur scène n’a pas la tâche facile dans la représentation de l’autre. L’autre étant parfois lui-même, aussi.Se perdre dans des paroles, dans des échanges, dans des tombées de rideaux… j’adore ça.
Le théâtre, c’est mon envolée titanesque, si je puis me permettre.
J’y suis, j’y assiste et je traverse tout ce qu’il y a entre les deux positions, peu importe de quoi il s’agit. Tant que ce soit du théâtre, et encore… je suis très ouverte à ce que peut être le théâtre.
Voilà pourquoi ma folle aspiration du spectacle peut être une épidémie pour les lectrices de Boucle Magazine. Je l’espère, tiens !
En plus, je donne de supers bonnes idées sorties, quoi demander de mieux ?
Oh, et au fait… Je suis Valery